Soumissions

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Liste de vérification de la soumission

Les auteurs-es doivent s'assurer de la conformité de leur soumission avec l'ensemble des éléments suivants. Les soumissions non conformes pourraient être retournées aux auteurs-es.
  • La soumission n'a pas déjà été publiée et n'est pas considérée actuellement par une autre revue. Si ce n'est pas le cas, fournir une explication dans le champ « Commentaires au,à la rédacteur-trice ».
  • Le fichier de la soumission est dans un des formats de fichier suivants : OpenOffice, Microsoft Word, RTF ou WordPerfect.
  • Lorsque possible, les URL des références ont été fournies.
  • Le texte est à simple interligne, utilise une police de 12 points, emploie l'italique plutôt que le souligné (sauf pour les adresses URL) et place toutes les illustrations, figures et tableaux aux endroits appropriés dans le texte plutôt qu'à la fin.
  • Le texte se conforme aux exigences stylistiques et bibliographiques décrites dans les Directives aux auteurs, qui se trouvent dans la section « À propos de la revue ».

Appels de problématiques de recherche

Cette rubrique invite à proposer des contributions empiriques originales. Ceci étant dit, elles ne peuvent faire l’économie d’un ancrage théorique et méthodologique explicite et soutenu. Deux types de contributions sont proposés   

1. Appels concertés :  Cette sous-rubrique invite tout collectif formel ou informel à constituer un projet de dossier portant sur différents types de contributions:  

a) Traditions théoriques mobilisées à partir d'une diversité de cas empiriques : comment une diversité de cas empiriques portant sur des champs d'activité différents peut être saisie à partir d'une même perspective théorique (pragmatique, interactionniste, sociologie des réseaux...) 

b) Proposer un champ de recherche spécifique (santé, économie, éducation...) pour nourrir une perspective théorique  

c) Une série d'études empiriques qui permettent de souligner les insuffisances/nourrir/transformer une approche théorique (que celle-ci soit spécifique à un champ ou qu'elle ait des ambitions transversales)  

Nous encourageons les contributeurs-trices à proposer des textes originaux présentant un travail collectif de mise en forme de la réflexion : en termes de structure de texte, d’articulation entre les textes proposés, de dialogue entre les membres du collectif… Au-delà du seul investissement partagé d’un même champ de recherche ou tradition théorique, le collectif est aussi invité à travailler à offrir aux lecteurs-trices une expérience renouvelée du rapport aux savoirs.  

2. Propositions d’articles « à la pièce » : Il est également possible de soumettre une proposition de communication individuelle. Celle-ci devra respecter la ligne éditoriale susmentionnée.  

En ce qui concerne le nombre de caractères, le collectif est libre de proposer un format cohérent avec la présentation qui sera suggérée de leurs contributions proposées. Le comité de rédaction se réserve le droit d’émettre des suggestions de modifications de mise en forme le cas échéant.  

Comptes-rendus

Dans cette rubrique, la revue voudrait publier des comptes-rendus d’ouvrages en sociologie. L’intention de cette rubrique est de rendre compte de l’actualité éditoriale en sociologie, aussi bien au Québec que dans le monde francophone et à l’international. Rédigés par un réseau de contributeurs, qu’ils soient doctorant.es en sciences sociales, chercheur.es ou professeur.es, les comptes-rendus pourront prendre différents formats.   

Formats proposés :  

1. Un compte-rendu classique visant une présentation problématisée du contenu de l’ouvrage.  

2. Un compte-rendu critique se situant davantage dans le ton de la discussion du contenu de l’ouvrage et de sa mise à l’épreuve sociologique.  

3. Un compte-rendu club de lecture rédigé sur la base d’un échange soit avec l’auteur de l’ouvrage en question, soit sur la base d’un échange avec deux-trois membres d’un groupe de lecture préalablement constitué.   

4. Un compte-rendu culturel. Ce type de compte-rendu invite à rendre compte, non seulement de livres en sociologie, mais également des films, des entretiens vidéo, des expositions muséales, des photographies ou encore des pièces de théâtre. Quel que soit le support choisi, l’important est que ces productions présentent un intérêt sociologique.   

 

Entretiens sociologiques

Dans cette rubrique, la revue voudrait publier des entretiens avec des sociologues ou des anthropologues.  

L’intention de cette rubrique est de permettre l’accès à la connaissance sociologique ou anthropologique sous une autre forme que celle de l’article dit scientifique, c'est-à-dire écrit et révisé par un comité. Par un dialogue intéressé, cette forme se veut plus relâchée ou décontractée permettant d’aborder des aspects, des critiques ou même des anecdotes personnelles considérés pertinents et significatifs par le-la chercheur-e en question. Cette rubrique peut mettre aussi de l’avant les parcours professionnels et biographiques de chercheur-e-s en sociologie et anthropologie. L’importance de cette rubrique est de proposer l’accès à un regard « de l’intérieur », c.-à-d. du point de vue du- de la chercheur-e, dans la construction de sa démarche en sociologie ou en anthropologie.  

Cinq idées principales ont retenu notre attention.  

1. La forme du « débat »

L’entretien pourrait prendre la forme d’un dialogue ou débat entre deux experts appartenant à deux « écoles » ou deux générations différentes.  

2. La question du Québec

Le LABREQ a déjà amorcé une démarche d’entretiens avec des sociologues centrés sur la question du Québec. Nous pourrions publier certaines d’entre elles, une liste intéressante a déjà été produite par le LABREQ. Une rotation entre homme/femme serait à privilégier. À noter : Les entretiens doivent être produit par un-e étudiant-e de l’UQAM pour que le Service de l’audiovisuel défraie les coûts (studio, captation, etc.). 

3. Les sociologues et les anthropologues hors des universités

La revue devrait aussi privilégier des entretiens avec des chercheurs-es dans les instituts de recherche (pas seulement dans les universités). Exemples : Mme Monica Slobach, M. Robert Laplante (IREC).  

Des entretiens avec des professeurs de CÉGEP ou tout autre ancien diplômé qui travaille hors de l’université. 

4. La dimension internationale

Du Canada, de la France, de la Belgique ou d'autres pays francophones.  

5. Le parcours d’un doctorant

La revue pourrait aussi privilégier des entretiens avec des candidats-es au doctorant sur le point de défendre leur thèse. Ici, la forme ressemblerait à ce qui se fait dans les universités anglophones dans les « News Letters » que les départements publient 2 à 3 fois par année.  

La publication des entretiens déjà produits par le LABREQ ou extraits (Descarries et Bouchard) pourrait être une bonne option pour les premiers numéros de la revue.  

Épistémologie pratique et enquête de terrain 

L'expression épistémologie pratique provient de la distinction piagétienne entre l’épistémologie proprement philosophique et l’épistémologie « intérieure » aux sciences. Cette épistémologie pratique est donc élaborée et adaptée par les praticiennes et les praticiens aux particularités des objets et des visées de connaissance. Elle se manifeste dans l’histoire de la sociologie par des écrits spécifiques, mais, la plupart du temps, au cours de l’exposé de recherches dans lesquelles ses interrogations s’imposent. Le singulier employé pour le terme d’épistémologie vise à souligner, tenant compte de la diversité des épistémologies implicites ou explicites caractérisant les formes de connaissance, la nécessité de développer une vision commune des fondements et des limites du travail sociologique afin qu’il puisse s’inscrire comme « bien commun » dans l’horizon des sciences. Dans cette visée, les articles de la rubrique pourront traiter de questions épistémologiques, ontologiques, méthodologiques, éthiques précises, ou plus généralement, dans le but d’établir des liens voire des règles favorisant la réciprocité des points de vue dans l’observation des diverses facettes des faits sociaux que permet une approche comparative et cumulative des travaux de recherche interrogeant notamment la valeur et la généralité de la connaissance socioanthropologique. 

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Les noms et courriels saisis dans le site de cette revue seront utilisés exclusivement aux fins indiquées par cette revue et ne serviront à aucune autre fin, ni à toute autre partie.