Formation en animation socioculturelle à l’ESELx : quelle place aux sciences physiques et naturelles ?
DOI :
https://doi.org/10.55765/atps.i20.1062Mots-clés :
formation, sciences physiques et naturelles, sociétés du risque, animation socioculturelleRésumé
Dès la première version du programme de formation de la licence en animation socioculturelle de l’École Supérieure d’Éducation de Lisbonne en 2006, l’équipe enseignante a jugé bon d’y intégrer une composante de sciences physiques et naturelles. En effet, dans les sociétés contemporaines comprises comme des sociétés du risque, la réflexivité est centrale et la science et les scientifiques deviennent de plus en plus nécessaires, mais sans qu’on les sépare des populations, au contraire. Ce besoin de réflexivité sur les risques apporte des défis supplémentaires à la formation et à l’intervention des professionnels en animation socioculturelle. Une enquête auprès des étudiants nous montre quelles sont leurs représentations de sciences physiques et naturelles et quelle importance ils attribuent à ces connaissances en tant que citoyens et animateurs socioculturels. Une approche transdisciplinaire, incluant les sciences physiques et naturelles, semble offrir des outils utiles pour la difficile tâche des animateurs qui est de trouver des moyens pour faire face à une réalité pleine de complexités et d’ambiguïtés.
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© Laurence Vohlgemuth, Joana Campos, Cristina Cruz, Paulo Maurício, Diana West, Leonardo Charréu 2021
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